Méditations existentielles sur l’éducation

Méditations existentielles sur l’éducation

Bonjour à tous,

Voilà un nouveau petit texte composé aujourd’hui entre deux révisions de méthane et des spectres IR….

L’idée m’était venue en cours d’espagnol quand on a parlé des inégalités… Je n’en dis pas plus… On se retrouve à la fin.

Des fois je me dis qu’on a de la chance d’être ici.

Je veux dire, la vie pour nous est quand même plus simple que dans certains autres pays ou dans d’autres régions du monde.

Regardez, nous sommes Parisiens, nous sommes dans un des meilleurs lycées de la capitale et pour les classes prépas, y’en a qui viennent de loin. Alors quand on peut parler en cours d’espagnol ou d’histoire, que certains enfants marchent des kilomètres et des heures pour aller étudier, je me dis qu’on a de la chance d’être nés dans un pays comme la France.

Et pourtant il ne faut pas croire que la France est aussi un pays tout rose, il y a eu et il y a de nombreuses polémiques (que je ne citerais pas car je ne fais pas de politique).

Je veux simplement que certains d’entre vous se rendent compte que la vie n’est pas donnée à tout le monde. Que certains peuvent naître avec des cuillères en argent, et d’autres pas. Mais qu’au fond, si on était si égaux que ça, on aurait tous les mêmes chances de réussir. Aussi bien qu’un Condorcéen qu’un enfant au Nigéria. Heureusement le monde aujourd’hui s’en rend de plus en plus compte et fait beaucoup de choses pour le changer mais il faudrait que certains, au sein même de la ville, de la mondialisation prennent conscience de la réalité.

Je ne dis pas ça pour que du jour au lendemain quelqu’un parte en service humanitaire quelque part, dans une région défavorisée. Je dis ça pour que certains réalisent la chance qu’ils ont et de l’utiliser comme il faut. De ne pas la gaspiller et pire de l’oublier. Je dis ça pour qu’une personne qui se sent en échec, qui se sent mauvaise, qui se sent inutile – ne le pense plus jamais à nouveau. Parmi nous, on a tous, les chances d’aller le plus haut qu’on le veut, si l’on se donne la peine de le faire. Moi, je n’ai pas peur des ambitions. Je n’ai pas peur de viser haut et de tomber, de ne pas forcément avoir ce que je voulais. Aujourd’hui le monde est fait de passerelles. Vous pourrez toujours réaliser votre rêve d’une façon ou d’une autre. Et ça se trouve, le jour où vous échouerez, un autre rêve apparaîtra et vous guidera à nouveau.

Ne lâchez pas vos rêves, visez le plus haut possible parce qu’un jour, vous y arriverez.

 

Ok, c’est peut-être un peu la période APB qui joue sur ce que j’écris et ce que je pense, mais cela n’empêche que tout ce que j’ai dis est valable aussi pour APB. J’apporterais juste une nuance. Soyez réalistes. Ne vous voilez pas la face aussi sans pour autant vous censurer. Un prof m’a dit une fois :

« Vous n’appartenez à personne, sauf à vous. Alors ne vous censurez pas et faites tout ce qui est possible pour atteindre vos rêves. Même si ça doit prendre plus de temps. Tant que ce rêve est possible, réalisable et utile – ne vous arrêtez pas. »

 

C’est un texte un peu différent de ce que j’ai l’habitude d’écrire, mais peut-être vous plaira-t-il ?

Je me dis finalement que le titre sur la photo traite une partie de ma pensée, mais qui est tout de même basée sur l’éducation… Bref,

Dites moi tout,

– Liza

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